SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish')

ஜ SUSAN ASHA FARLANE

• NOM : Farlane. Comme dans Farlane.
• PRENOMS : Susan, plus communément appelée “Susie”, Asha ('espérance' en hindou).
• ÂGE : vingt-trois ans - enfin, officiellement. En vrai, j'en ai dix de plus.
• ACTE DE NAISSANCE : Dublin, 13 mars.
• NATIONALITE : irlandaise
• SITUATION AMOUREUSE : célibataire
• SEXUALITE: végétophile ? (a) et sinon, hétéro.
• CLAN : Rùnda, je dirais.
• RACE : nymphe
• PASSEPORT : Arrivée à Clifden il y a environ vingt-neuf ans. Repartie, puis revenue.
• SIGNE PARTICULIER : se change en bruyère.
• CELEBRITE : amanda seyfried

• PRELUDE ϟ Bon. Prenez un truc tout bête, une manifestation par exemple. Au hasard, ce sera une manifestation contre le nucléaire – non pas qu’on en ait beaucoup, en Irlande, mais ça n’est pas l’important. Vous voyez le tableau ? C’est le printemps, il fait beau, et vous voyez un groupe de gens tous vêtus de vêtements en coton bio d’importation avec des grandes pancartes qui crient. Ils auraient aimé vivre à Woodstock, mais ils se sont ratés d’une cinquantaine d’années, alors ils se contentent de porter leurs sandales en chanvre et leurs cheveux trop longs dans les rues d’une petite ville. Bien.
Vous voyez la grande rousse, derrière la banderole, celle qui a la classe même dans ces conditions de ridicule suprême ? Elle a l’air intelligent, l’air méchant même face aux photographes. Cette fille, ça n’est pas moi.
Vous voyez maintenant la blonde, sur le côté ? Celle qui a marché dans une flaque, porte un t-shirt « flowers power » troué et qui est en train de se casser la gueule, si bien qu’on la coupera au montage de l’article ? Ça, c’est moi. Susan « appelez-moi Susie » Farlane, il y a encore quelques années.

“ ON AURAIT DIT UN ANGE

SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish') Tbquote14

SOURIANTE ϟ MALADROITE
CHALEUREUSE ϟ SUSCEPTIBLE
PEU RANCUNIERE ϟ PEU DISCRETE
CURIEUSE ϟ IMPRUDENTE
SIMPLE ϟ ENGAGEE

SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish') Tbquote02

• CARACTERE ϟ Susie est une gentille fille. Souriante, accueillante, elle n’hésitera pas à se montrer charmante avec tout un chacun (sauf si vous essayez de la mangez, bien sûr. Rares sont ceux qui apprécient ce genre d’attentions). Pour dire les choses à la hippie, Susie est amour. Bon, je vous l’accord, elle est un peu bizarre : marchant souvent pieds nus, portant un peu trop de vêtements en chanvre naturel pour son propre bien, elle a des convictions bizarres sur la façon dont on traite les animaux, les arbres et sur le cycle de la vie. Mais fort heureusement, elle fait beaucoup d’efforts, se rappelant à juste titre que ce genre de comportement fait fuir les humains : depuis quelques mois, elle essaye donc de porter des jeans, a même consenti à se laisser couper les cheveux pour qu’ils aient une longueur décente, et met parfois du maquillage.
Si l’on passe outre cet aspect un peu loufoque de sa personne, la jeune femme est parfaitement fréquentable. Affectueuse, elle sera la maman gâteau, proposant sans cesse des jeux et autres distractions, et préparant suffisamment de nourriture à base de soja pour tout un régiment. Ses muffins aux baies, puisqu’on en parle, sont excellents.
Elle est également (un peu) maladroite. Ou beaucoup. Si elle a la main verte, elle a passé un peu trop de temps sous forme végétale, et présente des difficultés certaines à se réhabituer à l’idée que la plupart des objets de la vie quotidienne sont fragiles, bien plus qu’un caillou. Inutile de dire qu’elle n’a pas réussi à se faire passer pour une humaine bien longtemps aux yeux habitués des chasseurs de créatures magiques. Heureusement, sa bonne nature et son incapacité totale à se montrer dangereuse ont rapidement eu le dessus sur la méfiance qu’elle pourrait inspirer.
Le tact n’est pas non plus la première de ses qualités, ce qui en fait un boulet non négligeable quand elle tente de se « battre » au côté de ses camarades. La chose arrive en effet de temps à autre, dans un élan de bonne volonté, que les autres voient arriver avec terreur à la pensée des catastrophes qu’elle pourra causer.
Pour conclure, il est probablement utile de préciser que contrairement à ce que les apparences laissent présager, elle n’est pas naïve, et se montre même d’un cynisme parfois gênant. Bien sûr, elle préfère rester une nymphe gentillette, mais le fait qu’on la prenne pour un être simplet qui n’a pas plus de cervelle qu’un arbre a tendance à la vexer. Et oui, les nymphes peuvent se montrer susceptibles ! Une chance que celle-ci ne soit pas revancharde et voit toujours le verre d’eau à moitié plein, sinon, elle aurait beaucoup trop d’ennemis.

● BIODEGRADABLE

• POUVOIRS ϟ Susie, comme toutes les nymphes, tire ses forces de la nature, de la vie qu’elle contient. Aussi, ses pouvoirs seront moins forts en ville, ou dans les zones brûlées, qu’au cœur d’une forêt.
Néanmoins, elle conserve certaines aptitudes qui font partie d’elle-même, bien qu’elle ait mis un certain temps à les maîtriser : se changer en végétal, et particulièrement en bruyère, est probablement ce qu’elle réussit le mieux. Elle n’est pas très douée pour ce qui est de parler aux animaux, prenant encore des cours en la matière auprès de ses semblables, mais arrive comme elles à favoriser la croissance des plantes.

✎ SAUVEZ UNE FORËT, MANGEZ UNE GOULE.

Prenez le bout du monde, par exemple. Tournez à droite, là où le néant commence, et arrêtez-vous après la pancarte « Clifden ». Voilà. Bon, ici, c’est chez moi. J’ai été élevée dans un bled perdu par un parent seul … Ça ne vous rappelle rien ? Heureusement, ma ressemblance avec la bovine héroïne de la saga fantastique s’arrête là. Parce que les vampires, chez moi, ils ne brillent pas.

Je sais. Commencer, comme ça, et balancer sur les vampires, ça n’est pas très gentil. Quoi qu’on ne m’ôte pas de l’idée qu’ils ne sont pas précisément les créatures les plus gentilles de la planète et que donc, ils le méritent.
Mais revenons un peu arrière, voulez-vous ?

Je suis née à Dublin. Mes parents ont tous deux fait leurs études au Trinity College, parmi une foule d’autres étudiants géniaux. Mon père était brillant. Le genre intelligent, le genre que les profs détestent parce qu’il pose des questions existentielles et remet en cause tout ce qu’on lui raconte. En plus, il était beau gosse. Et entre toutes les petites irlandaises gloussant qui peuplaient la fac, il a fallu qu’il choisisse ma mère.
Ma mère, qui avait changé son prénom pourtant convenable pour se faire appeler Adahy – ou quelque chose d’approchant – un truc qui veut dire « celle qui vit dans les bois » pour protester contre le massacre des Native Americans. Loin de se rendre compte que sa dulcinée était tarée et de fuir aussi loin que possible, il tomba amoureux et après avoir juré de ne jamais, au grand jamais, se marier, ils s’établirent dans un entrepôt retapé sur les docks.

Après trois ans de diverses errances dont je n’ai toujours pas les détails (mais soyons francs : je ne veux pas les entendre), ma mère tomba enceinte. Il s’agissait alors de ma sœur aînée, Aryana. Autant vous dire qu’à l’époque, ils ne s’étaient pas encore complètement remis de leur passion pour les noms aux consonances étranges et aux significations diverses.
Ma mère réussit l’exploit de garder ses convictions intactes tout en élevant un bébé : les couches bio, très franchement, ne sont pas des modèles d’imperméabilité. Mon père, lui, commençait déjà à s’assagir et ils quittèrent l’entrepôt pour un appartement.
Trois ans après, ce fut mon tour. A l’époque, elle avait accepté de reprendre son vrai prénom – Elizabeth – et lui venait de vendre son âme pour travailler dans une banque. Ils avaient abandonné les tatouages, l’idée de fumer dans les prairies, et s’accrochaient toujours désespérément aux vêtements en lin tissé main. Mais ce n’est que quand j’entrais à la maternelle qu’elle réalisa que murir ne signifiait pas forcément abandonner tous ses idéaux.

Dans la plupart des couples, quand l’un des deux fait une crise, tout le monde se pose le temps de réfléchir et de trouver une décision saine d’esprit. Mes parents firent comme tout le monde. Pourtant, la seule solution qu’ils réussirent à trouver, c’est que ma sœur et moi serions élevées par ma mère selon ses principes, loin de toute tentation capitaliste et consumériste – ce qui signifiait loin de mes grands-parents, et plus particulièrement de ma grand-mère et ses écharpes en vison. L’arrangement stipulait – et stipule toujours – que notre père assurerait un soutien financier, un week-end par mois et la moitié des vacances. Dans la pratique, nous nous sommes relativement peu vus jusqu’à ce que je sois majeure.

D’où l’arrivée à Clifden. Cherchant sur la carte une destination improbable, ma mère finit par tomber sur la ville, qui était encore loin de la modernité, et qui possédait un charme indéniable. Et c’est comme ça que ma sœur et moi, nous avons grandi. Notre maison était une ancienne ferme en pierre, je portais des salopettes et je n’eus pas le droit de manger de la viande jusqu’à ce que je sois assez grande pour décider par moi-même si oui ou non, je voulais me nourrir de la chair de nos frères animaux.

Evidemment, Aryana et moi étions un peu seules à l’école. A l’époque, elle se faisait appeler « Aurian » pour passer un peu plus inaperçue, et évitait soigneusement tout contact visuel avec le restant de la famille. Je crois que les gens du collège se souviendront de moi comme d’une fille un peu bizarre, tenant des discours incohérents sur la pureté de la vie, les animaux, les énergies vertes et la libération de la femme.

La vérité, c’est que ça ne m’a jamais vraiment posé problème. Je n’ai jamais été aussi atteinte que ma mère, probablement grâce à l’influence reposante de ma sœur, qui repoussa tout en bloc dès qu’elle eut atteint l’adolescence. J’adore ma mère, une femme avec des principes, et le jour où elle a décidé de partir vivre à Goa a été l’un des plus tristes – et des plus délirants – de ma vie. De ma vie humaine, entendu, qui a assez rapidement pris fin, alors que j’allais avoir vingt ans.

J’étais dans ma période ‘emo’, comme dirait l’autre, et je passais le plus clair de mon temps dehors. Les manifestations pour la paix commençaient à me passer par-dessus la tête, comme la plupart des activités de ma mère, qui se calmait peu à peu. Mais sortir pour fumer et regarder des séries américaines me semblait un peu futile, aussi je passais ma vie dans les prairies à prendre les nuages en photo. Autant le dire clairement, j’étais à moi toute seule un cliché vivant. Je ne faisais rien de ma vie, sinon réfléchir au monde, et j’étais inscrite à l’université, où j’allais partir d’ici un mois. Ce qui, bien sûr, n’arriva jamais.

J’imagine qu’elles m’ont repérée au bout du premier mois, quand je me suis absentée une petite semaine pour cause de bronchite. Mes vêtements de communion avec la nature n’étant pas très chauds, j’ai passé une semaine à délirer en crachant mes poumons, le regard perdu vers la fenêtre et l’infini.
J’avais seize ans quand j’ai commencé ces petites séances, et qu’elles m’ont remarquée. Probablement l’âge où on est le plus apte à faire de grosses bêtises. Et j’aime autant vous dire, si je pouvais refaire cette bêtise, je la referais encore et encore. Devenir une nymphe, c’est un peu ma … salvation.

Les trucs bizarres, je connaissais. Pour une petite ville, le taux de mortalité et de gens étranges est bien trop élevé à Clifden. En tout cas, bien plus que dans le reste du pays. Ma mère prétendait que « des mauvais flux » circulaient tout autour de nous, et qu’il nous fallait rester pures, lumineuses et attentives pour préserver l’équilibre.
La première fois que je les ai vues, je n’ai pas trouvé ça bizarre du tout. Elles étaient pâles, et tellement jolies (le fait qu’elles puissent se changer en buissons ne m’avait pas paru étrange, sur le coup). Elles étaient si souriantes, si paisibles … on aurait dit des anges.
Je les apercevais souvent au cours de mes promenades, sans jamais leur parler. Je crois qu’elles avaient déjà décidé que je les rejoindrais. Ce cirque a duré longtemps, jusqu’à ce qu’un soir, je les suive (déjà à l’époque, je n’étais pas discrète) jusqu’à la lande.

Le reste n’appartient qu’à moi. Sachez juste que la lumière déclinait, que je sentais la terre sous mes pieds, et que tout au long du rituel, j’étais plongée dans une sorte de transe, où les battements de mon cœur se calquaient sur ceux des vagues se brisant sur la falaise. Je me suis sentie vivante, vraiment vivante, pour la première fois. Lorsque plus tard, je prononçais moi-même ces mots, je pus enfin comprendre ce à quoi j’avais participé : ne faire qu’un, enfin, avec la terre mère.

Evidemment, je n’ai jamais été la seule créature magique du coin. Pendant un long moment, j’ai traversé une période d’euphorie où je demeurais un buisson de bruyère des jours durant, prétextant le besoin de méditer, et où je me sentais en communion totale avec la nature.
Ce sentiment d’appartenance n’a plus jamais disparu. J’imagine qu’il se rattache à ma condition, et je crèverais à l’idée de ne plus jamais frôler les feuilles de mes pieds nus. Mais j’ai dû apprendre à relativiser, tant bien que mal.

Après ma transformation, j’ai passé près de dix ans avec mes semblables, dans la forêt. Ma mère était depuis longtemps en Inde, ma sœur avait déserté la ville avec empressement sitôt son diplôme obtenu pour se retrouver à Dublin, puis à Londres. Autant dire que ma disparition est passée relativement inaperçue : que je donne des nouvelles une fois par an ou par semaine, finalement, c’était un peu du pareil au même. Avec le temps, ma mère s’est contentée de cartes postales laconiques stipulant que j’étais toujours en vie – même si je suis sûre qu’elle aurait bien pris ma transformation. Ma sœur, elle, a longtemps renoncé à ces nouvelles – sans parler du paternel. Et puis, je suis revenue à Clifden. Les évènements qui s’y déroulaient étaient par trop inquiétants, et puis on m’a rapidement fait comprendre qu’on ne m’avait pas transformée pour que je me tourne les pouces, numdidjiou.

Entre-temps, j’avais arrêté de vieillir. C’est une chose étrange, que de se réveiller un matin et de réaliser que, nom d’une pipe, on n’a pas pris une ride depuis près de sept ans. Mais finalement, à côté du cours de vieillissement d’un chêne, ça n’a rien d’étonnant. Et puis j’ai arrêté d’y penser. J’étais comme ça, un point c’est tout.
Ma vision des choses a quelque peu changé aussi. Exit, les préoccupations purement humaines, ma seule obsession était devenue la nature – et elle l’est encore, à moindre échelle, aujourd’hui.

Aujourd’hui, je me bats. Enfin, j’essaye. De temps en temps.
J’imagine que le fait de me retrouver face au Mal absolu a un peu aidé. Je n’y ai jamais vraiment cru – chez nous, c’était plutôt « tout est vie », et tutti quanti. Sauf qu’il existe, sur cette planète, des trucs pas cool : les mangeurs de baleine, les goules, et autres de leurs amis bouffeurs de chair humaine.
Non que j’aime vraiment les humains. Maintenant que je n’en suis plus vraiment une, je peux constater enfin à quel point ils sont faibles, à quel point ils détruisent tout sur leur passage. Posez un humain dans une forêt et en dix ans, il aura proliféré, et tué la moitié des arbres. Brrr. Si on va par là, moins nombreux ils seront, mieux ce sera. Et comme je n’apprécie pas trop les tripes fraiches, j’aurais tendance à vouloir qu’ils rejoignent mon camp, plutôt que de polluer la terre avec leur sang. Ceci dit, il a fallu faire un choix. La nature est par trop faible pour qu’on se contente de se cacher et de compter les cadavres, donc … Humains ce sera, parce que j’en étais une il y a encore peu, et fondamentalement parce que je déteste les goules.

Et dire que j’ai dit un jour de Clifden que c’était trop tranquille.

☂ PETIT FARCEUR

• PSEUDO : Lane
• ÂGE : 20 ans
• CODE : Validé par Linden
• LA COUR DES MIRACLES : Yavait de la lumière ... bon, sur PRD.
• YAY OR NAY : J'aime *o* Sauf que quitte à faire ma chieuse, je précise que la page d'accueil est trop large, et que la barre de scroll qui s'affiche en bas, elle est un chouia pénible (a)
• VOX POPULI : Euh, je vous aime, ne me mangez pas, les nymphes vaincront, flower power, toussa toussa.

BIENVENUE

SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish') 2537268512

Merciiiiii SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish') 810156456

Bienvenue sur le forum !
Bon courage pour ta fichounette.

Voila donc mon vrai bienvenue :

BIENVENUUUUUUUUUUUUUE

Merci à vous deux wiii

Eileánóir, ton avatar ... *o* alors que je suis pourtant pas fan de KStew à la base
Linden, merci xD Je crois que j'ai fini, mais il manque sûrement un truc quelque part :P

J'avoue sur ce vava, elle a une désinvolture que j'aime && qui va très bien avec le personnage.

C'est tout à fait ça ^^

Wouhou une consommatrice d'herbe XD
Bienvenue, j'ai le plaisir de te valider^^
Ton intro m'a bien fait rire =)

Sinon je tiens à te préciser que les nymphes ne sont pas que des hippies, elles s'apparentent plus aux amazones qu'autre chose, on pourrait dire que c'est le croisement entre une feuille de thé, une amazone et un vampire XD

Voili voilou^^

Oui, oui, c'est bien ce que j'avais compris ^^ C'est juste que je voulais faire de Susie une hippie avant même d'en faire une nymphe, alors j'ai continué dans la lancée ... Mais bon, la pauvre se soigne.

En tout cas, merci wiii

SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish')

SUSIE • Sois gentil, va mourir ailleurs. (finish')

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